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Raoul MONTHOUEL"Nouvelle-Calédonie : Déni de justice, Traquenard judiciare, Ostracisme"
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En 1990, Raoul MONTHOUEL crée le Club de plongée associatif "NOUMEA PLONGÉE", première structure de plongée à oeuvrer régulièrement un peu partout sur la grande terre, jusqu'à Hienghène
En 1992, après avoir construit et mis à l'eau une vedette rapide de 9 mètres, en aluminium, homologuée pour 16 plongeurs, Raoul MONTHOUEL crée le centre de plongée "NOUMEA DIVING", première structure touristique basée à Nouméa. Il est le tout premier a proposer 2 plongées successives dans la demi-journée.
En 1993, Raoul MONTHOUEL contribue très fortement à l'implantation de l'organisation PADI en Nouvelle-Calédonie, et ouvre le premier "PADI DIVE CENTER" au 79, rue de Sébastopol à Nouméa ; le centre est imposant, peint en rouge, avec une immense tête de scaphandrier blanche, il occupe tout un angle sur deux rues et gère des activités de travaux sous-marins en plus des activités de plongée loisirs.
En 1994, scaphandrier professionnel classe 3 NC mention travaux, Raoul MONTHOUEL réalise les premiers travaux de découpage sous-marin à la lance thermique (site minier de Monéo) et réalise les premières plongée à l'oxygène (passe de Thio) lors de la conduite de travaux pour le compte des phares & balises, avec le "GALIBI" en navire support.
Cette même année, il organise les plongées dans les grottes de Lifou pour le tournage de l'émission USHUAÏA, avec Nicolas HULOT.
Puis, avec une mission "spéléo" venue spécialement de France, il participe à la découverte, au recensement et à la cartographie de pratiquement toutes les grottes immergées de Lifou ; à cette occasion la plupart sont équipées d'un fil d'ariane, encore en place aujourd'hui (utilisation vivement déconseillée).
En 1995, Raoul MONTHOUEL est approché par le CLUB MED pour mettre en place une activité originale de marche sous-marine en casque de scaphandrier, baptisée "OCEAN WALK". Le Club Med décide alors d'ouvrir son village de Nouméa à la plongée en bouteille et confie à Raoul MONTHOUEL toutes ses activités de plongée, pendant 6 années, pratiquement jusqu'à la fermeture du village du Nouméa. L'appui de cet important partenaire commercial, va cristalliser chez les concurrents de NOUMEA DIVING une animosité farouche à l'égard de Raoul MONTHOUEL et un dénigrement systématique à son égard.
En 1996, Raoul MONTHOUEL crée le premier site Internet de Nouvelle-Calédonie entièrement dédié aux activités de plongée; a ce jour ce site est une référence, traduit en 4 langues et référencé sur tous les moteurs de recherches. Mais ce site Internet, riche en images et en informations, utiles non seulement pour son descriptif des sites de plongée, mais aussi des moyens mis en oeuvre par les opérateurs en plongée touristique, va mettre en lumière la réalité des moyens exceptionnels mis en oeuvre par NOUMEA DIVING face à une concurrence sous équipée. De plus, les agences de voyage, notamment et surtout japonaises, qui avaient une main-mise sur le marché calédonien, n'ont pas anticité ni compris l'avènement de l'outil Internet et n'apprécient pas de voir "leurs" clients aller directement chez NOUMEA DIVING. Une véritable coalition va alors se former contre Raoul MONTHOUEL, qui va devoir faire face à leur politique commerciale basée sur son dénigrement et celui de NOUMEA DIVING, tant vis-à-vis de la clientèle, mais aussi des autorités et du pouvoir politique local au sein desquels copinage et clientélisme sont prépondérants.
En 1997, Raoul MONTHOUEL imagine et construit une plate-forme servant de base plongée à l'île aux Canards, avec la réalisation d'un ascenseur pour les mises à l'eau. Un véritable aquarium naturel est crée à cette occasion. Des prestataires étrangers viendront à Nouméa pour s'inspirer de cette réalisation et la reproduire près de la grande barrière en AUSTRALIE, ainsi que dans les lagons de MOOREA et de BORA BORA. A noter que, sans l'appui du directeur régional du Club Med, Mr Jean-Pierre GARNIER, rien de tout ça n'aurait pu se faire du fait des jalousies et des blocages administratifs existants.
En 1999, Raoul MONTHOUEL achète et reconstruit un navire de 20 mètres, 54 tonneaux, baptisé " IMPERATOR". Les travaux durent plus de 3 ans et l'exploitation commence en mars 2003. La démonstation est alors faite qu'une (très) grosse unité de plongée peut être exploitée en Nouvelle-Calédonie. Mais, en dépit d'un tourisme réputé "en panne" en Nouvelle-Calédonie et d'une aide aux investissements annoncée et répétée par l'administration de la Province Sud, aucune aide attendue ne viendra ; pire, l'administration des affaires maritimes, submergée de sollicitations des concurrents de Raoul MONTHOUEL pour empêcher l'exploitation d'un tel navire, finira par en rendre l'exploitation extrêmement difficile.
En 2003, Raoul MONTHOUEL propose les premières sorties journée de 3 ou 4 plongées successives et la découverte de sites de plongée jusqu'alors innaccesibles, du fait de leur éloignement. Ce choix d'éloignement étant motivé par une animosité concurrentielle croissante sur les sites de plongée aux abords de Nouméa et de ses passes : enlèvement des mouillages du navire IMPERATOR pour l'empêcher de rester sur site, quasi abordages par les canots pneumatiques des concurrents et mise à l'eau de leurs plongeurs pratiquement sous les hélices du bateau. C'est une escalade dangereuse, ponctuée de plaintes régulières auprès de l'autorité maritime contre Raoul MONTHOUEL.
En 2003, Raoul MONTHOUEL crée le Syndicat des Plongeurs Professionnels de NC (SPPNC), dont il devient le président. Cet organisme s'occupe plus particulièrement de travaux sous-marins.
En 2008, le 28 septembre, une monitrice de plongée employée par NOUMEA DIVING encadre une activité de baptême en bouteille à l'île aux Canards et le client japonais se noie en fin de plongée, à quelques mètres du bateau, suite à une panne d'air liée aux manquements graves de la monitrice. Raoul MONTHOUEL saute immédiatement à l'eau, mais il est trop tard : ranimé le plongeur perdra la vie.
En 2008, le 5 novembre, Raoul MONTHOUEL crée le club associatif NOUMEA DIVING CLUB et abandonne toute activité commerciale touristique.
Décembre 2009, après avoir assumé seul l'entière responsabilité de l'accident survenu et fait face à toutes ses obligations, Raoul MONTHOUEL est condamné à une peine avec sursis et décide de quitter la Nouvelle-Calédonie pour les îles Fidji.
Pendant 18 ans, son parcours professionnel a été irréprochable et sa structure la seule à n'avoir jamais eu d'accident de plongée, en dépit de sorties quotidiennes et alors que plusieurs décès se comptaient chez ses concurrents et détracteurs.
7 Octobre 2013, au terme d'une saga judiciaire de pratiquement cinq ans, Raoul MONTHOUEL est relaxé des accusations qui lui avait valu d'endosser les responsabilités de la monitrice japonaise à l'origine de l'accident de plongée dans son entreprise. Trop tard : "Chose jugée, chose démontrée ; arrêt rendu vaut titre formel".
En 2014, la trace de Raoul MONTHOUEL se perd dans l'état de Washington à Port Angeles, où il gèrerait une société de travaux sous-marins "ABC DIVING" également enregistrée en société Offshore dans les îles du Vanuatu...
Nouméa : retour de plongée avec |
Ses qualifications :
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2000 avec le Club Med, sur notre plate-forme de l'île aux canards à Nouméa |
Avec RFO, place des cocotiers |
Son expérience :
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Pau 1981 : l'Ecole des Troupes Aéroportées |
Club Med : Ambiance "GO"
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Ses moments forts :
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1986 |
Marseille (1986) : Au quai de l'Ecole des scaphandriers (INPP) et en plongée au large du Frioul. Se déplacer en scaphandre lourd n'est pas chose facile, ceux qui l'ont fait connaissent aussi l'isolement d'un scaphandrier et la relation étroite avec son "cordon ombilical" et la surface. |
Ses regrets :
Ses souhaits :
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"Le Phoque" pour ceux qui connaissent...
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Octobre 2005, première caméra vidéo sous-marine Haute Définition, passe de Boulari
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