NOUMEA DIVING CLUB

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Bienvenu à bord !

Raoul Monthouel

- Nous avons eu un accident en septembre 2008 -

Nous avons exploité nos activités en Nouvelle-Calédonie pendant 18 ans, de façon irréprochable, voire tout à fait exemplaire ; en offrant des sorties plongée pratiquement tous les jours, sans jamais exiger un nombre minimum de plongeurs.

Cependant, pendant toutes ces années, nous avons subi de la part de certains concurrents un dénigrement acharné, accompagné de tracasseries administratives, croissants au rythme de nos investissements et de rumeurs* sciemment entretenues à notre encontre, sans aucun doute en rapport avec notre toute première place sur un marché touristique quelque peu étriqué, réputé morose et dont nous captions l'essentiel.
A partir de 2006, probablement las de nous dénoncer à toutes les administrations (et se sentant forts de faire plonger une partie de la magistrature locale) ces mêmes concurrents ont commencé à prendre pour cible notre navire Imperator sur les sites de plongée, n'hésitant pas à mettre en danger nos plongeurs, comme les leurs (mis à l'eau près des hélices de notre bateau, plongeant en dérive sous notre coque sans aucun moyen de signalisation en surface pourtant obligatoire, etc.), allant jusqu'à tenter de faire s'échouer notre navire et, aussi surprenant que cela puisse paraître... à porter régulièrement plaintes contre Raoul Monthouel (gérant de la Société et pilote du bateau) au mépris des règles de sécurité les plus élémentaires en matière de navigation et de plongée. Non moins surprenant, le fait qu'une telle démarche, à priori grotesque, ait pu aboutir. Ainsi, notre bateau "Noumea Diving" a été éperonné à deux reprises, en toute impunité et Raoul n'a eu de cesse d'être auditionné par les autorités maritimes, suite à ces plaintes multiples qui tentaient de le discréditer... Précisons que tous les plaignants (issus des trois centres de plongée, dont nous taierons les noms) adhéraient à une même association "NCP" prétendant, sans le moindre fondement, représenter l'ensemble de la profession.
En septembre 2008, dans ce contexte pour le moins exécrable (nous n'évoquerons pas les nombreux actes de sabotages dont nos installations et équipements ont régulièrement fait l'objet pendant des années), une monitrice japonaise PADI, sous contrat avec notre entreprise, a conduit un baptême de plongée qui s'est soldé par une noyade (panne d'air d'un plongeur Japonais lui tenant la main !..) et le lynchage médiatique, puis judiciaire de Raoul Monthouel : refus d'instruction judiciaire, garde-à-vue de plus de 72 heures excédant très largement la durée légale (24 heures renouvelables) et accusations sans le moindre fondement, furent diligeantés par le représentant du parquet, auto-saisi pour enquêter, et qui croyait utile de préciser qu'il en faisait "une affaire personnelle"... sa petite amie travaillant chez le principal concurrent de Noumea Diving. Le fait ayant été dénoncé devant la coure par Raoul (audition du 31 décembre 2008...) le magistrat en question fit allusion à un "procédé odieux" qu'il valait mieux taire (s'agissant d'une sommation interpellative, faite à la requête de Raoul, pour apporter la preuve de cette liaison et du conflit d'intérêt, pour ne pas dire parti-pris manifeste). A l'issue du jugement d'appel, l'avocat de Raoul fut inquiété pour avoir fait allusion (à demi-mots) à ce parti-pris et ce n'est qu'à cette occasion, pour la défense de l'avocat, que le document justificatif fut produit en justice... Quant au sort de Raoul Monthouel, il était jeté depuis longtemps : responsabilité totale, à l'issue de deux citations à comparaître en qualité de Directeur Technique et de Directeur de Plongée "de fait", quand bien même ces deux fonctions fussent occupées par des personnes en poste, déclarées et sous contrat au moment des faits... (la réglementation néo-calédonienne fait porter l'entière responsabilité de l'activité aux personnes occupants ces fonctions et non au gérant de l'entreprise commerciale, qui s'est avéré être irréprochable en dépit des nombreuses enquêtes "à tiroirs" diligentées parrallèlement).

Après être passé du statut commercial à un statut associatif courant 2009, les investisseurs de notre société ont décidé de quitter la NC en 2010, abandonnant son tourisme réputé "en panne" et ce contexte pour le moins ubuesque, qui en d'autres temps relevait de l'ostracisme*.
Nous concluons par deux mots : Carpe diem* ! et quelques citations :
« La peau de l’ours était vendue avant même qu’on ne l’est mis parterre...» (Jean De La Fontaine 1601-1695)
« Il y a deux choses auxquelles il faut se faire, sous peine de trouver la vie insupportable : ce sont les injures du temps et les injustices des hommes » Chamfort (1741-1794)
« La justice est la sanction des injustices établies » Anatole France (1843-1916)
« L’injustice est muette, et la justice crie » (Jean de ROTROU 1609-1650 La Soeur Acte V, scène 3)
« (...) il conviendrait de souligner qu'à Papeete il n'existe pas une structure aussi puissante et malthusienne qu'à Nouméa. Les différents pouvoirs sont mieux répartis à Papeete. On ne trouve pas concentrés dans les mêmes mains le pouvoir politique et le pouvoir commercial ou financier » (Jean-Marie Colombani, L'Utopie Calédonienne 1985).

Bon vent, bonne mer.

*La rumeur : Lorsqu’on a mis le vert dans le fruit, il est difficile de ne pas devenir paranoïaque, c’est ainsi qu’elle a été utilisée de façon remarquablement efficace en Algérie, par l’armée française. Mais elle est aussi une technique d’intoxication commerciale qui peut s’avérer redoutablement efficace
* Ostracisme : Action d'exclure qqn d'un groupe, d'un parti, de le tenir à l'écart. Procédure en usage à Athènes, permettant aux membres de l'ecclésia de bannir pour dix ans un homme politique dont ils redoutaient la puissance ou l'ambition.
*Carpe diem : mots d'Horace (Odes 1, 11, 8), qui rappelle que la vie est courte, et qu'il faut se hâter d'en jouir.

Nota Bene : Ce qui précède est loin d'être hexaustif, il y aurait beaucoup à rajouter, tant du côté journalistique que judiciaire, à propos des manquements, vices de procédure et abus dans l'affaire Raoul Monthouel/Noumea Diving. Il est scandaleux que l'on puisse à ce point condamner quelqu'un sur des allégations mensongères et des rumeurs et non sur des faits. Mais aller plus avant dans les explications nous inciterait à exposer des documents et des noms... (tout à fait disponibles).

Commentaires éventuels au Webmaster qui transmettra, merci.