Accès page 1/12 + index de navigation
Personnages Clefs de ce traquenard judiciaire :
Supplément :
Les personnes morales ou physiques, concernées par les informations recueillies sur ce site, ont un droit d'accès et de modification des informations inventoriées sur ses pages.
Avis aux investisseurs en Nouvelle-Calédonie : l'exemple de Raoul MONTHOUEL face à une justice et une presse dignes de l'époque coloniale avec ses "petits arrangements"... (mise à jour
Lorsque des innocents doivent se défendre devant des accusateurs de métier, intronisés dans leurs fonctions par tout l'apparat volontairement impressionnant et protocolaire de l'appareil judiciaire, ils sont particulièrement démunis, voire en proie de panique et de perte totale de moyens, de leurs facultés. Malheureusement, la justice est le jouet d'hommes et de femmes de nos temps, le fruit des tares et du côté obscure de nos sociétés. Ceux qui la servent sont-ils complices ou victimes ? une chose est certaine, ils en sont le corps et l'esprit.
"La justice est la sanction des injustices établies" Anatole FRANCE (1844-1924, Académie Française, Prix Nobel 1921).
Née le 26 juin 1972 (36 ans au moment des faits)
1-5-26 Nunoichicho, Higashi Osaka-shi, Osaka, Japan
Tel : (81) 0729-84-7930 (home) 090-3969-1662 (mobile)
E-mail : penpen_miwa@hotmail.com
EDUCATION : Graduated with Dip. (Dietetics), from Tezukayama Gakuin College, Osaka (1995). Secondary School Graduation from Ikejima Senior High School, Osaka (1993).
Language : Completed Japanese, Intermediate English
Skills : New Zealand Rotorua English Language Academy Intermediate Course.
BREVETS PROFESSIONNELS :
EXPERIENCE PROFESSIONNELLE :
Miwako était arrivée en milieu de nuit à Nouméa et j'étais allé l'attendre à son arrivée à l'auberge de jeunesse. Petite, brune avec des cheveux longs et noirs, ça me réconfortait par rapport à la photo un peu stupide qu'elle avait jointe à son CV, prise à bord d'un bateau, portant une chemise qui n'était pas à elle, avec un gros lourdeau de buveur de bière en arrière plan. Je n'avais pas bien compris qu'on puisse joindre une telle photo à un CV.
J'avais l'habitude de voir défiler dans ma société les intructeurs de plongée japonais. Le niveau était vraiment bas et je n'étais satisfait de pratiquement personne. J'avais tout essayé, les garçons - dont je ne voulais plus, car trop téméraires, avec toujours quelque chose à prouver par rapport à une clientèle essentiellement féminine - les jeunes femmes, courageuses et souvent complices avec la clientèle ; mais tous souffraient d'un cruel manque d'orientation sous l'eau, à l'origine de bien des soucis et d'imprudences, à l'origine de grosses contrariétés pour moi.
Cette fois, j'avais un peu jeté l'éponge en décidant d'engager quelqu'un de plus âgé, avec de l'expérience ; mais j'étais sans trop d'illusions et je comptais sur mon instructeurr japonaise en titre depuis des années pour la prendre en main ; je préférais rester en retrait, pour ne stresser personne, car il semblait que mes "debriefing" et mes remarques engendraient quelques "blocages". Mais, fort heureusement, aussi longtemps que j'avais pris les choses en mains, ni ma société, ni moi n'avions jamais eu le moindre accident en plongée. Bref, je m'étais rangé de l'avis de mon entourage "en la mettant en veilleuse" ; il paraît qu'il faut savoir passer la main et déléguer...
Pour ceux qui ne le savent pas, la plongée en Nouvelle-Calédonie n'est pas une simple affaire. Le lagon est immense, il y a des passes, de grands fonds et du courant, à l'intérieur comme à l'extérieur des passes. Mais la plongée y est extraordinaire, bien qu'exigeant un gros investissement pour être menée correctement, avec confort et sécurité. C'était là tout le problème : petit marché, beaucoup de prestataires au fil des années, petit "gateau" à se partager et ambiance délétère se traduisant par dénonciations, calomnies et petits sabotages. Ma prestation occupant la première place, j'étais une cible toute désignée et mes employés avec, puisque nous étions "sur le même bateau" c'était le cas de le dire.
L'emploi d'un navire jaugeant 54 tonneaux (70 à 100 tonnes, 20 m x 6 m et 2,3 m de tirant d'eau) n'est pas une chose aisée avec un seul moteur, à proximité des récifs, dans de faibles fonds et où la mer est quelque fois très agîtée en surface. j'avais donc dû me résigner à piloter le bateau et à ne plus encadrer les plongées depuis longtemps ; la sécurité surface était bien trop importante pour être confiée à n'importe qui, mieux valait déléguer l'encadrement des plongées. Mais la chose s'était considérablement compliquée lorsqu'une partie de mes concurrents, réunis en associaton, a commencé à couper les mouillages installés par mes soins pour mon bateau et à venir au contract avec leur pneumatiques, larguant leurs palanquées le long de notre coque, pour ensuite aller porter plaintes pour mises en danger
C'était irresponsable, méprisable... Mais ça a fonctionné, grâce à quelques complaisance du côté du parquet de Nouméa en la personne du substitut Richard DUTOT.
Miwako ne pouvait imaginer dans quel guêpier elle mettait les pieds, d'autant que ne l'appréhendais pas totalement moi-même ; par conséquent, je ne peux lui en vouloir pour ce qui à suivit et qui ne se serait jamais produit dans un autre contexte. Comme moi, comme nous tous à NOUMEA DIVING, elle fut victime de ce contexte, qui était le fait de personnes déterminées dans leurs mauvaises intentions à mon égard et à celui de ma société. Bien sûr, elle a fait fait preuve de maladresses, mais elle a des circonstances atténuantes.
C'est dans ce contexte d'ailleurs qu'elle a été prise en main par les "autorités", à l'issue de l'accident de plongée qu'elle encadrait ; entendant par là Richard DUTOT qui en faisait "une affaire personnelle, les autorités qui lui étaient subordonnées (police, gendarmerie), la consule honoraire du japon Marie-José MICHEL et la traductrice Atsuko DELRIEU ; petite mafia qui s'était passée le mot pour me démolir. Miwako KAWAI a été leur jouet, ils lui ont fait dire et signer n'importe quoi ; je comprends qu'elle était en état de choc et abusée.
Par contre, j'ai du mal à comprendre qu'étant au Japon, dans sa famille, elle ait essayé de tirer profit des mensonges éhontés qu'elle avait accréditer à mes dépens. Ça a été très regrettable et surtout domageable pour moi.
Je voudrais quand même noter la responsabilité de ces organisations de plongée, très commerciales, issues des USA, dont PADI à sa tête.
Leur responsabilité est importante dans le fait de faire croire à des employés de bureau, des gens sédentaires, sans expérience de la mer ni des bateaux et si peu de la plongée, qu'ils sont devenus des professionnels de haute volée, par le simple fait d'une formation super complète et super accélérée, dont la motivation principale est de faire du fric, quitte à abuser de responsabilités. Tant que les intervenants officient en piscine ou en dit "milieu protégé", tout va bien ; mais en milieu "ouvert", voire un peu hostile... Rien ne va plus !