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Personnages Clefs de ce traquenard judiciaire :
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Avis aux investisseurs en Nouvelle-Calédonie : l'exemple de Raoul MONTHOUEL face à une justice et une presse dignes de l'époque coloniale avec ses "petits arrangements"... (mise à jour
Lorsque des innocents doivent se défendre devant des accusateurs de métier, intronisés dans leurs fonctions par tout l'apparat volontairement impressionnant et protocolaire de l'appareil judiciaire, ils sont particulièrement démunis, voire en proie de panique et de perte totale de moyens, de leurs facultés. Malheureusement, la justice est le jouet d'hommes et de femmes de nos temps, le fruit des tares et du côté obscure de nos sociétés. Ceux qui la servent sont-ils complices ou victimes ? une chose est certaine, ils en sont le corps et l'esprit.
"La justice est la sanction des injustices établies" Anatole FRANCE (1844-1924, Académie Française, Prix Nobel 1921).
Non, pas si l'on s'en réfère au tableau d'avancement 2012 (magistrature) JORF n°0193 du 21 août 2012 page texte n° 45 :
Le substitut Richard DUTOT fait partie des 954 inscrits par La garde des sceaux ministre de la justice Christiane Taubira, Jean-Marc Ayrault premier ministre et François Hollande Président de la République.
Pourtant, en ce qui me concerne, c'est en qualité de simple entrepreneur que mon nom a commencé à être malheureusement cité dans les audiences du palais de justice de Nouméa ; pour quelles raisons ? Pour des raisons de jalousies commerciales de la part de mes concurrents et des dénonciations calomnieuses.
Bien plus tard, j'ai découvert que j'étais aussi coupable de toujours me faire représenté par mon avocat... C'est clairement ainsi que j'ai pris ce reproche rapporté par mon avocat lui-même. Assez déconcertant je l'avoue. Mais ça n'était qu'un avant goût de "l'ambiance" de ce "palais de justice", que je qualifierais volontiers de "palais de coquins" ou "grand théatre" à mi-chemin entre la bouffonnerie pour le simple spectateur et l'inquisition pour le justiciable, sur fond d'arrogance et, en ce qui m'a concerné, de franche animosité à peine contenue du côté du représentant du parquet.
Un univers de coquins... avocats compris, même si sur l'estrade et en bas, certains, peu nombreux, font figure d'exception. Attention ! Pas coquins au sens du petit Larousse, qui se dit d'un enfant espiègle ou malicieux, ni de ce qui est fait pour séduire !
Loin du "regard coquin" il faut l'interprêter dans la définition du terme s'agissant d'individus malhonnêtes, sans scrupules. C'est en tout cas ce que j'ai expérimenté, autant à ma grande surprise, qu'à ma grande douleur.
Dans cet univers, Richard DUTOT avait la toute première place et, je dois bien l'avouer, il en fut digne.
"Accusateur de métier intronisé" dans ses fonctions ? "Complice" dans l'excécution d'un pouvoir dont il n'aurait pas l'envergure ? "Victime" de cette suffisance et de cette morgue qui sied trop souvent à cette corporation ?
Une chose est certaine, comme le dit Anatole FRANCE, Richard DUTOT a été une des illustrations du corps et de l'esprit de ce pouvoir judiciaire, une "affaire personnelle" employant des "moyens honteux" pour reprendre ses propres termes.
J'en ai fait les frais, j'ai été condamné et je le suis encore chaque jour cinq ans plus tard, mon nom et la version très médiatisée de Monsieur Richard DUTOT étant inscrits de façon indélibile sur le Web Ad vitam aeternam.
Alors, ayant épuisé tous les recours possibles, y compris en m'adressant (sans réponse) à la CNIL, je me suis résigné moi aussi, à mon modeste niveau, à utiliser Internet pour rapporter ce que je clame et argumente être "LA" vérité dont j'ai été spolié, car il n'y en a qu'une ; mais surtout, pour dénoncer l'injustice, l'abus de pouvoir, la malhonnêté intellectuelle, le détournement et l'utilisation à des fins personnelles d'un service public par ses agents, supposés servir et non "se servir".
Je considère, rapportant ces faits étayés de documents à l'appui, que je satisfais un devoir citoyen en "lanceur d'alerte" et j'en remercie le www, ce dernier recours.
De quoi s'agit-il plus exactement ? Redde Caesari quae sunt Caesaris, et quae sunt Dei Deo (rendez à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui appartient à Dieu) :
Non, nulle arrogance chez Mr Richard DUTOT substitut du procureur de Nouméa ; à le voir déambuler à pied, sa musette kaki sur l'épaule, entre le palais de justice et son domicile au centre ville de Nouméa, le personnage est même plutôt insignifiant, voire caricatural. Peut-être est-ce l'explication d'une telle agressivité dans l'exercice de ses fonctions et de ses prérogatives... Une façon, pout une personnalité refoulée de prendre l'ascendant ? Qui le sait ? Un psy, peut-être ?
Mais ce qui aggrave cette histoire judiciaire relatée ici, c'est sa préméditation de longue date, aléborée au fil des opportunités, car tout avait manifestement commencé bien plus tôt que je ne l'imaginais au départ... Des années plus tôt.
J'avais bien conscience que les jalousies commerciales me concernant s'étaient transformées en propos et attitudes haineux, alimentant des rumeurs malveillantes ; mais je me refusais, intérieurement, à admettre ce qui m'étais soufflé par mes proches : "Ne te pourvois pas en justice, évite toutes les procédures, les dès sont pipés pour toi".
Je ne me suis pourvu en rien, mais cité à comparaître j'avoue avoir été assez naïf et, mea culpa, j'étais parti pour me défendre ! Mon élan fut rapidement maîtrisé par les "pros" que j'avais en face de moi... et, hélas, derrière moi aussi.
* Axiome de l'ancier droit, toujours en vigueur : "Chose jugée, chose démontrée ; arrêt rendu vaut titre formel".
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