NOUVELLE-CALÉDONIE : DÉNI de JUSTICE, TRAQUENARD JUDICIAIRE et OSTRACISME

Avis aux investisseurs en Nouvelle-Calédonie : l'exemple de Raoul MONTHOUEL face à une justice et une presse dignes de l'époque coloniale avec ses "petits arrangements"...
(Téléchargé en octobre 2013)
       

Lorsque des innocents doivent se défendre devant des accusateurs de métier, intronisés dans leurs fonctions par tout l'apparat volontairement impressionnant et protocolaire de l'appareil judiciaire, ils sont particulièrement démunis, voire en proie de panique et de perte totale de moyens, de leurs facultés. Malheureusement, la justice est le jouet d'hommes et de femmes de nos temps, le fruit des tares et du côté obscure de nos sociétés. Ceux qui la servent sont-ils complices ou victimes ? une chose est certaine, ils en sont le corps et l'esprit.
"La justice est la sanction des injustices établies" Anatole FRANCE (1844-1924, Académie Française, Prix Nobel 1921).

III. DIFFAMATION SANS FIN…

J'ai décidé de me mettre à l'ouvrage, cinq ans après le point d'orgue de cette affaire : ma comparution le 31 décembre 2008, alors qu'une presse anglo-saxonne de caniveaux me met à nouveau sous les projecteurs de son "actualité", vomissant des allégations diffamatoires collectées sur Internet auprès d’une autre presse, néo-calédonienne, aux procédés guère plus enviables ; faut-il y comprendre que le marché du ragot ferait bonne recette ?...

En tout cas, ces deux quotidiens ne m’ayant évidemment jamais consulté quant à ce qu’ils allaient écrire à mon sujet, Il y a tout lieu de penser qu'ils ne souffraient pas la contradiction d'un autre point de vue que le leur. Bien étrange déontologie journalistique...

Ainsi donc, non seulement les allégations diffamatoires en rapport avec les heures juridiques les plus sombres que j’ai connues couvraient déjà les pages Internet (en violation du droit d’accès aux fichiers : article 38 de la loi «informatique et libertés» du 6 janvier 1978 modifiée), voilà qu'à présent leur version « copiées-collées », traduite en anglais, est à maintes reprises publiée par un quotidien qui va jusqu'à en faire sa première page, pour des raisons mercantiles sans aucun doute et du fait (encore) de jalousies commerciales… qu’importe. A cette fin, je suis qualifié de « French criminal recorded, banned from diving in New Caledonia », sous-entendu que j'aurais pris la fuite de la Nouvelle-Calédonie pour échapper à la prison !
Or, si la "version" française était limitée à une communauté francophone, la version anglaise est illimitée quant à sa portée. Le tort qui m'est fait est considérable. Conscient du proverbe "qui ne dit mot consent" : je parle ; d'autant que tout ceux qui voulaient me causer du tort l'on fait, sans aucune retenue et en toute impunité.

Au sujet de ma vie calédonienne et de ses tribulations, je pourrais en dire long, très long, après 16 années d'exploitation commerciale sur fond de procédures judiciaires et d'adversité, mais pas ici ; quant à « régler des comptes » j'ai mieux à faire à présent "Carpe Diem !" ; par contre, quant à la façon dont je suis descendu aux enfers de l’opprobre en 2008, à travers un véritable traquenard judiciaire fomenté par la rumeur, le copinage, la jalousie commerciale, l'incompétence administrative et un manque de discernement affligeant, notamment en ce concerne le tourisme en Nouvelle-Calédonie : il est plus que temps que je révèle certaines vérité, bien différentes de ce qu'on a laissé entendre jusqu'à présent.

Ceux qui auront le courage de lire les documents joints mesureront l'ampleur du désastre judiciaire et du naufrage du droit.

Avant d’exposer une partie éloquente des affaires qui ont conduit à mon départ et à cette opprobre, il convient de se poser une question concernant le secteur particulier du tourisme :

Comment éliminer un concurrent plus performant, facilement et pour pas cher ? Il m’est apparu que le plus efficace et sûr moyen d’arriver à ses fins consiste en la propagation de rumeurs, souvent bien servies par le copinage et par la dénonciation, tant auprès des diverses administrations que des médias.
Le procédé fonctionne particulièrement bien au sein des petites communautés, où la presse écrite peut être tentée de palier un manque d’information et de tirage par une manne de ragots, afin de remplir ses colonnes de véritables feuilletons, quelque fois entretenus par ceux-là même qui en font les frais et essaient vainement de se justifier, n’en contrôlant ni la source, ni la publication.
De surcroît, la publication dans les médias est extrêmement pernicieuse, car ses méfaits sont immédiats et avec une connotation « officielle » cautionnée par une autre presse plus sérieuse, alors que toute réparation n’aboutira que bien des mois plus tard, au terme de procédures coûteuses, aux résultats incertains et au risque d’en remettre une « deuxième couche » ! Les directeurs de ces petites publications le savent bien et en profitent largement, en faisant leur fond de commerce.

Enfin, il n’est un secret pour personne que le monde judiciaire connaît parfaitement ces rouages et n’est pas le dernier à organiser lui-même des « fuites » dans les médias, afin d’orienter les opinions publics ou politiques, les décisions de justice, ou même régler ses propres comptes.

Or, si ce qui est écrit dans les colonnes d'un journal peut être "parole d'évangile" pour une immense majorité, mais limité à la portée de l'édition, à l’heure d’Internet il ne fait aucun doute que le site d’un quotidien, ou un simple blog, diffusent sur le Web une information pratiquement indélébile, reproduite à l'infini et même traduite (plus ou moins correctement) par les moteurs de recherches : ceux qui vous livrent en pâture de la sorte savent très bien le tort qu'il vous font...

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