NOUVELLE-CALÉDONIE : DÉNI de JUSTICE, TRAQUENARD JUDICIAIRE et OSTRACISME

Avis aux investisseurs en Nouvelle-Calédonie : l'exemple de Raoul MONTHOUEL face à une justice et une presse dignes de l'époque coloniale avec ses "petits arrangements"...
(Téléchargé en octobre 2013)
       

"Res judicata pro veritate habetur"
Axiome de l'ancier droit, toujours en vigueur :
"Chose jugée, chose démontrée ; arrêt rendu vaut titre formel".

Lorsque des innocents doivent se défendre devant des accusateurs de métier, intronisés dans leurs fonctions par tout l'apparat volontairement impressionnant et protocolaire de l'appareil judiciaire, ils sont particulièrement démunis, voire en proie de panique et de perte totale de moyens, de leurs facultés. Malheureusement, la justice est le jouet d'hommes et de femmes de nos temps, le fruit des tares et du côté obscure de nos sociétés. Ceux qui la servent sont-ils complices ou victimes ? une chose est certaine, ils en sont le corps et l'esprit.
"La justice est la sanction des injustices établies"
Anatole FRANCE (1844-1924, Académie Française, Prix Nobel 1921).

Personnes impliquées dans ce dossier et y ayant apporté une contribution exclusivement à charge, au détriment de la vérité (liste non exhaustive) :

I. PRÉAMBULE            

Vingt six ans en Nouvelle-Calédonie, j'ai créée avec "NOUMEA DIVING" la plus belle entreprise de plongée touristique qu’a connu ce territoire d’Outre-Mer, employant jusqu'à huit encadrants de nationalités différentes à bord du navire "IMPERATOR", l'anglais étant la langue de travail dans l'entreprise ; nous offrions une prestation exceptionnelle, qui nous valait toutes les éloges à l'étranger dans le monde de la plongée. En bref :

J'ai développé et exploité les activités pendant dix sept ans, jusqu'à ce que les jalousies commerciales se transforment en haines personnelles et que le copinage ait raison de moi, m’obligeant à un départ forcé, comme bien d’autres, devenus "passagers indésirables du navire Calédonie » et dont, le plus souvent, telles des bouteilles à la mer, on n'a plus entendu parler.

De fait, je ne suis pas le premier à subir de tels déboires, tout au long de ces 26 années des histoires comme la mienne j'en ai entendues de toutes sortes, mais, n'étant pas directement concerné, elles faisaient partie de concepts abstraits, voire d’anecdotes ; c’était un peu comme on regarde les nouvelles à la télé : en les considérant comme un feuilleton faisant partie d'un autre décor et puis, un jour, ce décor vous saute à la figure, vous êtes plongé dedans.

Mais, à la différence "d'avant", les nouvelles technologies sont passées par là.

Pendant pratiquement toute ces années d'exploitation, en qualité de chef d'entreprise, j'ai du composer avec la dure loi du "World Wide Web" qui consistait à informer dans les deux sens : c'est à dire que si je pouvais informer chacun au sujet des services offerts par mon entreprise, le monde entier pouvaient librement faire des commentaires à ce sujet, pour le meilleur... et pour le pire. Un tel pouvoir confine à l'excellence et c'est grâce à lui, peut-être aussi de l'avoir compris bien avant mes concurrents, que j'avais pris la première place sur le marché de la plongée touristique en Nouvelle-Calédonie, durant 16 années d'exploitation quasi quotidienne.

Aujourd'hui et selon le même principe, ma démolition médiatico-judiciaire s'est répandue sans fin par le biais du "Web" ; mais comme c'est une "arme" à double tranchant, il m'appartenait de l'utiliser moi aussi, pour qu'au lieu de disparaître dans l’immensité de l’océan, ma petite bouteille à la mer délivre son message, qu'elle vous raconte non seulement une histoire vécue, dans laquelle tout investisseur, immigrant, aventurier, touriste, ami, trouveront source d’inspiration et de réflexion, mais surtout qu'elle fasse la lumière sur des comportements relevant de l'abus de pouvoir, de la connivence, d'ententes et de magouilles au sein d'associations affairistes de tous poils (dont franc-maçonnes) ; bref, qu'elle mette à jour des pratiques inacceptables qui doivent être dénoncées par chacun, au bénéfice de l'intérêt général et de ceux qui, intègres, sont éclaboussés par ces écarts de comportements et ce manque d'honnêté intellectuelle.

Il est probable qu'elle revêt aussi un intérêt tout particulier pour les patrons de centres de plongée, comme pour tous ceux qui se sont intéressés aux débats d'actualité visant à supprimer le juge d'instruction et la garde-à-vue à la française [Note 8].

D’autres, souhaitant investir au « bout du monde » y trouveront sûrement à méditer quant aux paradis tropicaux et certains aspects, peu reluisants, de ces micro-sociétés, avec ce que je qualifierais « d’effet loupe » sur la vie politique, sociale et forcément économique : ce qui, ailleurs, passerait inaperçu... y fait tache, et peut devenir tellement pire.

Oui, c'est une alerte que je lance.

Vous verrez, dans les onze pages qui suivent, que rien ne m'a été épargné, les premières notes figurant ci-dessous étant déjà éloquentes.
A l'instar de l'un des textes les plus célèbres de la littérature anglaise, je vous invite à méditer Hemingway :

"never send to know for whom the bell tolls; it tolls for thee "
(n'envoie jamais demander pour qui sonne le glas: il sonne pour toi).

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[Note 1] Mr Cyril OZOUX vice-président au tribunal de première instance de Nouméa, époux de Mme Fabienne SAVREUX épouse OZOUX substitut du procureur. L'épouse au réquisitoire et l'époux au jugement !

[Note 2] Mr Ermenegilde SIMETE, substitut du procureur de la République près le tribunal de première instance de Nouméa, a fait l'objet d'une sanction de déplacement d'office à Evry, par décision en date du 21 janvier 2013.

[Note 3] Mme Joëlle RONDREUX, épouse DE COLLORS, juge au tribunal de première instance de Nouméa (placée en position de congé de longue durée par décret 15 janvier 2009), dont le mari était nommé "expert" auprès du tribunal, dans une affaire pour laquelle j'étais plaignant et qui rendra un avis défavorable, à l'encontre du bon sens, des faits pourtant établis et de la vérité.

[Note 4] Ludovic FRIAT, Jean-Louis THIOLET, Frédéric DEGRESLAN, Magali FRAIGNE (Cabinet REUTER-DE RAISSAC) : personnes connues pour avoir déjà fait l'objet de manquements déontologiques. De plus, Ludovic FRIAT avait des raisons personnelles de m'en vouloir, ce qu'ont confirmé ses interventions, allusions et sous-entendus lors de l'audience du 31/12/2008.

[Note 5] Mr Christian LAUQUE vice-président au tribunal de première instance de Nouméa, Mme Isabelle LACROIX, épouse LAUQUE vice-procureure de la République près le tribunal de première instance de Nouméa. L'épouse au réquisitoire et l'époux au jugement !

[Note 6] Mr Jean-Pierre VIDALLIER, auquel il a été reproché une bavure judiciaire (dans une autre affaire), muté disciplinairement début mai 2010 au tribunal d'Evry.

[Note 7] Capitaine de police Philippe JUGANT : promu au grade de Commandant le 6 janvier 2011. Voici un exemple, dans le cadre de cette affaire, des "petits services et arrangements d'enquête" rendus au parquet en la personne du substitut Richard DUTOT.

[Note 8] Présence d'un avocat, possibilité d'accès au dossier et de connaître les faits reprochés, grâce à une condamantion de la France par la cour Européenne des droits de l'homme.

[Note 9] « Nul homme n’est une île, un tout en soi; chaque homme est partie du continent, partie du large; si une parcelle de terre est emportée par les flots, pour l’Europe c’est une perte égale à celle d’un promontoire, autant qu’à celle d’un manoir de tes amis ou du tien. La mort de tout homme me diminue parce que je suis membre du genre humain. Aussi n'envoie jamais demander pour qui sonne le glas: il sonne pour toi. (Devotions upon Emergent Occasions, 1624) » Ernest Hemingway, d'après un des textes majeurs de John Donne.

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