Vandalisme sur la Dieppoise... Les pratiques de mouillage... Merci la Province Sud...

Faites-nous parvenir vos informations, nous les publierons.

Actualités du mois de décembre 2006

Un hélicoptère Puma à la recherche de deux plongeurs :

Ce jeudi 7 décembre, tout un chacun pouvait suivre, en direct sur le canal 16, un exercice de sécurité impliquant le MRCC de Nouméa.
L'après-midi, en revanche, le scénario était beaucoup plus réaliste et a permis aux secours de continuer leur application pratique, mais avec des moyens plus importants, puisqu'un Puma de l'armée a dû décoller de TTA pour entreprende des recherches concernant deux plongeurs, à l'extérieur du grand récif barrière.

Le bateau d'un centre de plongée commercial, une unité d'environ 6 mètres, équipé d'un moteur hors-bord, était mouillé à l'extérieur de la pointe des grands récif M'Bere/Annibal, à plus de 15 miles nautiques de Nouméa (environ 10 miles de l'îlot le plus proche) lorsqu'une énorme vague s'est formée sur le tombant, manquant de faire chavirer le bateau et arrachant littéralement les deux plongeurs qui venaient de s'y accrocher.
Debout, ébêté dans son bateau, le skipper était dans l'impossibilité d'apercevoir et de retrouver les deux plongeurs disparus sur le récif ; il a donc fallu se résigner à lancer un appel sur le 16 et déclencher les secours. Bon réflexe ; également de la part des plongeurs, qui avaient pu prendre pied sur le récif.

Dommage que ce genre d'incident, comme d'autres d'ailleurs, ne bénécifie d'aucune diffusion et encore moins de mise en garde auprès des autres structures de plongée, professionnelles comme associatives, ce qui serait probablement riche en enseignement et permettrait de mieux sensibiliser toutes les personnes concernées, au plus grand bénéfice de la collectivité.

Donc, extérieur du grand récif : attention, la houle peut s'avérer dangereuse ! régulièrement une vague plus grosse que les autres se forme et arrive... silencieusement. Attention également aux distances d'éloignement des navires, en respectant les catégories de navigation (A, B, C et D) attribuées à chaque navire, en fonction de leur capacité à affronter des conditions de navigation plus ou moins sévère. Un rappel concernant la sécurité est toujours bon à prendre.


Actualités du mois de novembre 2006

Les entreprises, le tourisme, quelques déclarations choisies :

Comment favoriser le développement des entreprises ?
"Les entreprises ont avant tout besoin d'un environnement favorable à leur développement pour favoriser une croissance durable. C'est le rôle de la collectivité publique d'assurer les conditions de cet environnement porteur et de donner confiance"
(Alain Descombels, Président de la Commission Développement économique de la Province Sud, Président de Promo-Sud / Courrier SUD numéro spécial novembre 2006).

Comment augmenter enfin le nombre de touristes ?
"La Province Sud (...) a décidé de faire du tourisme un secteur de développement prioritaire à l'échelle du pays"
Pourquoi miser autant sur le tourisme ?
"Le tourisme est l'un des rares domaines d'activité qui peut être créateur d'emplois dans des délais rapides".
(Christiane Gambey 3ème vice-présidente de la Province Sud, présidente du GIE Nouvelle-Calédonie Tourisme Point Sud / Courrier SUD numéro spécial novembre 2006).

Nouvelle-Calédonie, un tourisme en infraction : attention, danger (suite)

Dans un contexte bien connu, de morosité générale du secteur touristique, les professionnels du tourisme plongée, par l'intermédiaire de leur syndicat professionnel "SPPNC" (Syndicat des Plongeurs Professionnels de Nouvelle-Calédonie) lancent un crix d'alarme en direction de la chambre de commerce et d'industrie (CCI) considérant leur profession mise en difficulté et leurs perspectives de développement compromises.

Mise en cause, une administration qui empoisonne véritablement les dirigeants de centres de plongée, ne répond pas aux courriers, interprête les textes comme il lui plaît, mettant dans le même panier "charter, pêche et plongée" sans distinction aucune des spécificités et réglementations propres aux activités de plongée, à leurs établissements et à leurs navires.
Il en résulte, depuis des années, un alourdissement des charges des entreprises de plongée, obligées d'embaucher des personnels, dont elles n'ont aucun besoin pour le pilotage de leurs bateaux, sous peine du retrait d'un agrément qui ne les concerne pas et leur est imposé : celui de la profession de transporteur nautique, étant fait référence au "transport de passagers à titre onéreux" (alors que pour la plongée il s'agit de "transport de plongeurs", activité bien spécifique faisant l'objet d'une réglementation particulière).
Le gouvernement refuse aux représentants de cette profession de siéger en commission de délivrance de l'agrément qui leur est imposé et s'obstine à ne pas vouloir entendre leurs doléances.
Carance de dialogue social ? volonté seulement affichée de vouloir développer le tourisme ? Incompétence ? Fuite de responsabilité de la part de certains responsables politiques ? ... Bien des questions se posent.
il s'ensuit des recours au contentieux administratif et déjà deux condamnations pour le gouvernement, au profit d'un centre de plongée d'Ouvéa et d'un particulier à Nouméa.

Il est en effet regrettable, en dépit d'une politique affichée donnant priorité au développement touristique, que ce qui semble relever de l'incompétence et de la psychorigidité administrative conduise à des empêchements d'exploiter, pour certaines sociétés de plongée qui ont osé ne pas courber l'échine devant une administration aux manières inquisitoires, faisant peu de cas de la législation existante, de l'esprit de la loi et de l'intérêt général en matière de développement touristique ; ajoutons le boycott par le GIE "Nouvelle-Calédonie Tourisme" qui, sans aucune concertation, ne liste pas, ou plus, les entreprises concernées, alors que sa seule raison d'être est, précisemment, de les promouvoir.
Comble de l'absurde, l'entreprise la plus expérimentée, doyenne des centres de plongée de Nouméa, qui a réalisé des investissements remarquables en matière de navire support de l'activité, qui pourrait se poser comme référence pour notre destination, fait l'objet de ce boycott, alors qu'elle est parfaitement agréée par le Gouvernement pour ses activités de plongée ! Boycott, faut-il le préciser, au profit d'entreprises concurrentes, mises en difficulté par leur insuffisance d'investissements et leur manque de stratégie commerciale essentiellement basée sur le dénigrement... Vous pensez copinage ? A ce stade de l'invraisemblable, on peut tout imaginer.

Manque de discernement de la part de responsables et nécessaire prise de conscience des réalités d'un secteur d'activité en mal d'écoute et de reconnaissance, font mauvais ménage en Nouvelle-Calédonie : mauvaise pioche pour le tourisme plongée, qui "piétine" depuis des années.

(Voir : lettre SPPNC dans laquelle il est fait référence aux documents suivants : Courrier province Sud du 1/03/2006, courrier Ministre G. CORTOT du 19/05/2006, Décret n° 99-439 du 25/05/1999, Arrêté 2002-2005/GNC du 11.07/2002, Instruction ministérielle n° 06-135 JS, liste des centres de plongée agréés et voir également : Plongée Magazine "L'actualité de la législation)"


Actualités du mois d'octobre 2006

Nouvelle-Calédonie, un tourisme en infraction : attention, danger

Sous son titre "Le ponton des plongeurs pourrait boire la tasse", le quotidien "les Nouvelles" aborde l'épineux sujet du développement touristique en Nouvelle-Calédonie.
Il est pour le moins étonnant, après avoir provoqué des "assises du tourisme", décrété des plans d'urgence pour la sauvegarde de ce secteur d'activité et avoir même estimé primordiale et prioritaire celui de la plongée touristique, que la Province et tout particulièrement la ville de Nouméa, s'emploient à créer des difficultés dans la continuation d'une activité touristique exemplaire*, proposée depuis bientôt onze ans dans la vitrine touristique de notre destination...

Aujourd'hui en infraction pour accéder à ses installations*, qu'elle a découvert au milieu d'une zone de baignade agrandie sans se préoccuper de la présence de son ponton et de ses installations sous-marines, la société prestataire ne cache pas son étonnement et sa perplexité face à une situation pour le moins contraire aux promesses et aux objectifs fixés à la fois par la province Sud et le gouvernement : le ponton et ses installations sous-marines devraient être déplacés.

Le gérant de la société concernée nous dit garder espoir, que les autorités compétentes oeuvrent en bonne intelligence à trouver une solution au problème, espérons le, sinon... un message aux investisseurs potentiels : ATTENTION, DANGER !

* Elue "suggestion du mois" en 2000, par l'office du tourisme de Nouméa
*
Bizarrement, la zone de baignade a été agrandie, avant même que ne soit signé et, à fortiori, publié l'arrêté municipal en référence. Quant au prestataire, il n'a jamais été informé de rien.


Actualités du mois d'Août 2006

Une tourisme japonaise victime d'une hémorragie méningée sur un bateau de plongée :

Arrivé le matin du 16 août de Tokyo, un jeune couple participe à une plongée de nuit avec le centre de plongée NOUMEA DIVING, à bord du navire IMPERATOR.
En fin de plongée, alors qu'elle s'est déséquipée et changée sur le pont arrière, une plongeuse japonaise est victime d'un malaise et tombe lourdement en arrière, sa tête percutant un siège.

Se trouve à bord de l'IMPERATOR le Dr Christophe BOULNOIS, médecin urgentiste au CHT de Nouméa. Le Dr BOULNOIS est un habitué des situations d'urgence médicale et à déjà participé à plusieurs opérations de sauvetage en mer, notamment un hélitreuillage à partir de l'IMPERATOR en août 2005, pour une urgence à bord d'un voilier.
Le Dr BOULNOIS diagnostique immédiatement une hémorragie méningée et prodigue des gestes médicaux appropriés à l'état de la patiente, dont la gravité le préoccupe (perte de connaissance, convulsions...).
Craignant une lésion corporelle, la patiente n'est pas déplacée ; heureusement, l'équipement d'urgence du navire permet de déployer plus de 12 mètres de tuyau d'oxygène médical ; deux bouteilles seront utilisées, les secours immédiatement alertés.

Evacuée sans tarder sur le CHT, le scanner confirme le diagnostic pertinent du Dr BOULNOIS : rupture d'anévrisme avec hémorragie méningée. L'état de la patiente est jugé grave et son évacuation sanitaire est mise en place durant la nuit.
Sont tout particulièrement remerciés pour leurs compétence, disponibilité et conseils : le Dr BOULNOIS, l'équipe du SMUR, le Dr LE COQ et son équipe médicale, ainsi que Madame Marie-José MICHEL consul honoraire du Japon en Nouvelle-Calédonie.

A noter que, bien que son état soit préoccupant, la jeune touriste japonaise a eu beaucoup de chance : en effet, que serait-il advenu si cette hémorragie et perte de conscience étaient survenus durant la plongée ? ou encore, si elle s'était trouvée sur un petit bateau, sans place pour lui prodiguer rapidement et efficacement les soins vitaux (PLS, ventilation, etc...) ou, sans médecin urgentiste...

Pour l'information de tous ceux qui hésitent encore à prendre une assurance complémentaire, l'évasan de cette japonaise (non prise en charge par la Cafat) lui coûte plus de 7 millions de Francs cfp, dont 2 millions sont pris en charge par l'assurance de sa carte de crédit bancaire, restent donc plus de 5 millions à la charge de l'intéressée. Rappelons qu'il ne s'agit pas d'un accident de plongée et qu'il n'y a donc pas de frais de traitement hyperbar.


Actualités du mois de juin 2006

PADI réuni et motive ses membres de Nouvelle-Calédonie :

Le 25 juin, à 19H00, se tenait au Park Hôtel un forum PADI (Professional Association of Diving Instructors) plutôt discret, réunissant l'ensemble des effectifs calédoniens, soit une vingtaine de membres.
Etaient abordé plusieurs sujets, notamment : Les statistiques et brevets PADI, comment intéresser de nouveaux plongeurs, la continuité dans le système de formation, les nouveaux produits, les standards, les questions de premiers secours et le projet AWARE (protection de l'environnement).
Il est à noter les résultats plutôt très moyens obtenus par PADI en NC, en regard des statistiques mondiales publiées par l'organisation, notamment pour la zone Asie-Pacifique :
Le nombre de brevets délivrés par PADI NC a connu un de ses meilleurs score en 2003, année où il affleurait les 300 ; en 2004 il dégringole en dessous de 150, pour remonter à presque 250 en 2005 ; en 2006 les résultats semblent être des moins prometteurs, avec un nombre inférieur à 50 à la date du forum.
En matière de formation, aucun encadrement n'a été formé en NC (Instructeur, Assistant, Dive Master) ; quelques formations "Rescue", à peine plus "Advanced" ; l'essentiel des formations s'adressent à "l'Open Water", c'est à dire le niveau 1 ; lequel ne trouve pas son aboutissement en matière de plongée autonome dans notre système judiciaire ; ce qui peut, en partie, expliquer le faible nombre de candidats à l'obtention de ce brevet.
Un fait curieux concerne les baptêmes de plongée, en effet, aucun membre affilié n'utilise les imprimés proposés par PADI. Il en résulte, pour cette organisation commerciale, une absence totale de statistique pour les baptêmes de plongée, dont le nombre, et par conséquent la part de marché, lui sont complètement inconnus.
Une des stratégie proposées par PADI pour relever la barre, est de suggérer la délivrance de l'Open Water, en "package" avec les formations CMAS (rien de nouveau pourtant), assortie d'un système de "passerelles" entre les brevets CMAS et PADI.
A priori, pour PADI, la concurrence est rude avec les brevets nationaux français, puisque, rappelons-le, les brevets de la fédération française (FFESSM) sont tous délivrés avec une équivalence internationale CMAS (Confédération Mondiale des Activités Subaquatiques) et reviennent bien moins chers que les formations PADI du même niveau, avec des prérogatives identiques... Ajoutons que plusieurs structures commerciales en NC sont affiliés à SSI (Scuba School International) une autre concurrente de PADI.
A noter, à son avantage, que cette organisation sait proposer des équipements pédagogiques performants et en plusieurs langues, ainsi que des cours de spécialité intéressants, tel que pour la photo-vidéo numérique.
Dommage toutefois que, dépendant de l'Australie, il ne soit pas possible pour ses membres, français et japonais, d'obtenir dans leur langue l'ensemble des outils pédagogiques offerts par les autres représentations (France et Japon) dont le monopole australien sur la NC ne leur permet pas de passer commande... Rappelons que PADI est une organisation comerciale américaine, l'anglais y est donc servi priorité.

Beaucoup de raies mantas dans la passe de Boulari :

Mai-juin est la période de frai des requins , l'observation des raies mantas (Manta birostris) semble privilégiée à ce moment de l'année.
Le Centre de plongée NOUMEA DIVING a rencontré un véritable rassemblement de raies manta (environ une douzaine) dans la passe de Boulari, le 21 juin dernier.
Quelques conseils pour leur observation : Ne les encerclez pas, ne les approchez pas de trop près, ni trop vite, attendez à une distance raisonnable et... laissez-les venir.
La raie manta peut atteindre 6,5 mètres d'envergure (moyenne 4 m) et peser 1 300 kg. Les rostres mobiles, situés dans la partie antérieure du corps, servent à canaliser vers la bouche les filets d'eau et le plancton : elle les tord et les détord au ralenti, se nourrissant de larves qui viennent d'éclore et de plancton, souvent juste sous la surface.
On la voit parfois sauter hors de l'eau : déparasitage, fuite pour échapper à un prédateur, parade nuptiale ?
En Nouvelle-Calédonie, on rencontre des spécimens entièrement noirs, ce qui semble n'avoir jamais été signalé ailleurs dans le monde ! (photos prises dans la passe de Boulari par Denis & Gene, Raoul M.)
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Thierry Baboulenne relance la polémique :

Thierry Baboulenne :
"Monsieur le Webmaster,
Ne serait-il pas utile que la rubrique "actualité" de votre site mette à l'honneur ou plus exactement au déshonneur l'attribution récente d'agréments pour transport nautique à caractère touristique à des entreprises en "marge" ?
En effet si certains peuvent se satisfaire que des structures deviennent enfin légales il me semblerais assez opportun de dénoncer la façon dont elles se sont comportées au cours des derniers mois ou dernières années.
En effet dés 2005 j'avais dénoncé, dans  Plongée Mag N°67 <http://www.plongee-mag.net/Boutique/Affich.htm?RID=PM67/PLONGEE&varID_RUB=RUB0000133> (08/04/2005) <http://www.plongee-mag.net/Boutique/Affich.htm?RID=PM67/PLONGEE&varID_RUB=RUB0000133> Numéro d'avril /mai 2005, l'attitude des "pirates"...
A l'époque cet article ne visait personne précisément mais avec du recul on voit que mes propos étaient plus que prémonitoires.
Comment la profession peut-elle fermer les yeux sur de telles pratiques sans réagir ???
Ou est-ce une avancée majeure pour la plongée en Nouvelle Calédonie ???
Le débat est ouvert..."
Thierry Baboulenne.
Réponse du Webmaster :
Je vous remercie pour l'intérêt que vous portez à la rubrique "Actualités" de notre site Internet http://www.newcaledonia-diving.com. Puisque vous l'estimez utile, votre courrier est publié.
Réponse du syndicat de la profession :
Le Syndicat des Plongeurs Professionels de Nouvelle-Calédonie (SPPNC), dûment habilité à représenter la profession, n'a jamais été saisi de vos prémonitions, ni des "pratiques" auxquelles vous faites allusions.
Cependant, nous sommes à votre écoute pour vous venir en aide, pourvu que cela se fasse dans l'intérêt de la profession et non dans celui, exclusif, de la polémique, ou du dénigrement.
Nous vous savons un peu éloigné, géographiquement, mais n'hésitez pas à nous contacter et à profiter des conseils, ou du "recul" d'autres professionnels, très au fait de ce qui se passe en Nouvelle-Calédonie. Cordialement, le bureau du SPPNC.


Actualités du mois de décembre 2005

Des actes de sabotages sur des bateaux de plongée :

Une rumeur laisse entendre que certains professionnels auraient eux-mêmes saboté leur(s) bateau(x) pour mettre à l'index des concurrents, faire parler d'eux et se faire rembourser leurs frais par leur(s) assureur(s)...

Tous les "coups" seraient-ils permis pour attirer l'attention ?...
Mais dans tous les cas, des certitudes : sâle ambiance qui perdure et... toujours la même première victime : le tourisme plongée.


Actualités du mois de septembre 2005

Quelques phrases de début de mois :

"Comparer le prix d'une plongée en Egypte à celle d'une plongée en Nouvelle-Calédonie, c'est comparer une assiette de poisson dans un restaurant thaïlandais et dans un restaurant de Los Angeles. Et ce n'est pas en cassant les prix que la plongée pourra vivre." La rédaction de Plongee-mag.

"Comparer NOUMEA DIVING avec ses concurrents, c'est comparer la 1ère classe avec les soutes à baggages. C'est peut-être aussi la raison pour laquelle tous les mouillages, mis en place pour l'amarrage de notre navire sur les sites de plongée, sont régulièrement coupés depuis 3 ans. Il y a bien du progrès à faire du côté de certains concurrents..." Raoul MONTHOUEL Noumea Diving.


Actualités du mois d'Août 2005

DiveScope : Quelle utilité ? Quel avenir ? Attention. Un bilan s’impose...

En avril dernier (voir bas de page) nous avions lancé un cri d'alarme concernant la dangerosité du fameux "DiveScope" immergé près de la Sèche Croissant.
On ne peut pas dire que les choses se soient améliorées pour autant.

En effet, laissé à l'abandon depuis plus d'un an, l'engin n'est plus balisé en surface. Couvert de mousse, la trappe d'accès est ouverte, ayant perdu son cadenas lors d'un talonnage sur le fond et l'ensemble ne flotte que par les bulles d'air des plongeurs... qui respirent dessous, ou dedans ! En espérant qu'ils ne retirent pas leur détendeur, car l'air y est certainement vicié, voir toxique.

A priori, alarmé par notre bulletin d'actualité et "radio cocotiers", le responsable s'est manifesté ce lundi 22 août 2005, en allant constater sur place par lui-même ;
En profitant d'ailleurs pour s'en prendre verbalement à une structure de plongée, venue tranquillement avec des touristes japonais, qui se sont vu intimés l'ordre : "sortez de ma concession". Le site de plongée de la Sèche Croissant serait-il interdit d'accès sans que nous ne le sachions ?
Il faut dire qu'il est possible de ce monsieur soit quelque peu nerveux, par rapport aux subventions, très considérables, qu'il attend d'un projet similaire, mais de plus grande envergure.
Il convient de rappeler, qu'en son temps, le DiveScope nous avait été présenté comme l'activité touristique qui allait faire parler de la Nouvelle-Calédonie ; les pronostics les plus fous étaient alors de mise, avec des moyens publicitaires impressionnants.

Aujourd'hui, les questions restent entières :
A quoi aura servi ce DiveScope ? dans lequel personne n'est jamais allé, sauf pour en faire la promotion publicitaire, au profit des sponsors ;
Quel est le résultat économique ? à part l'impression sur timbres postes.
Fallait-il dépenser tant d'argent ? et risquer aujourd'hui une contre publicité fatale, si un touriste s'asphixie dans ce qui pourrait devenir un piège...

Quand on sait que le futur projet est un hôtel sous-marin, cela laisse dubitatif quand on connaît les problèmes de remplissage des hôtels de Nouméa.

Enfin, pour rester positif, il paraît que ça égaie un peu les plongées de voir cette étrange chose sous l'eau. ça aurait un aspect "surnaturel" voire insolite.
Mais pour moins cher, n'aurait-on pas pu couler une épave, dans laquelle seraient allés les poissons et non l'inverse ?

Charte de qualité et de responsabilité : Thierry BABOULÈNE s'exprime...

Dans un courrier du 17 août dernier, dont nous sommes destinataires, Thierry BABOULÈNE (Koulnoué Dive Center) s'adresse à Bernard ANDREANI (Amédéé Diving Club) au sujet de la fameuse charte de qualité et de responsabilité, récemment mise en place. Nous nous faisons le relais de ses commentaires :
"Notre association a bien conscience que ce projet de charte est un "coup " dont le ou les principaux rédacteurs n'ont qu'un but : essayer de redorer leur image". (...)
"Au delà de ces faits notre avis général est que cette charte reprend point par point ce qui est déjà dans les réglementations qui nous sont applicables. Elle apparaît donc comme un gros plagia qui n'apporte rien à personne".
Nouvelle Calédonie Plongée n'en sera pas signataire (...).

Pour le moins que l'on puisse dire, la concertation est rondement menée dans cette association. Pour le reste... chacun appréciera.

Coup de fil à... (Suite)

En effet, installer un mouillage sur le domaine maritime public, hormis toutes les autorisations nécessaires, peut apporter certaines déconvenues à son installateur, quand bien même il soit muni des meilleures intentions.

La Province Sud en a fait les frais avec Denis VERHOEVEN et son bateau Ngatahi.
Un navire disproportionné par rapport à la taille du mouillage auquel il était amarré ; vous savez, ces mouillages mis en place par la Province Sud à proximité des îlots, pour rendre service aux plaisanciers et préserver l'environnement sous-marin. A priori, l'ensemble s'est déplacé ou a rompu.
Résultat, plainte et recours en justice de la part du propriétaire du navire, pour se faire indemniser. "Cool" ou "choc" diront certains.

Conséquence pour la collectivité : la Province, qui était toute disposée à installer des mouillages sur les sites de plongée, vient de se rétracter.
A présent, le projet serait que les centres de plongée formulent une demande à la Province, qui envisage de mettre à disposition le mouillage. L'installation et la responsabilité en reviendraient ainsi à celui qui aura formulé la demande...
Donc, de là à envisager d'assurer les mouillages, il n'y a pas loin ! Avis aux amateurs...

Autre conséquence, mais plus positive : il a fallu s'adapter au plan d'eau nettoyé de (presque) tous ses bidons.
C'est ainsi, qu'en l'absence de bouée de surface dans la passe de Boulari (où tout mouillage est interdit) les bateaux supports ont commencé à suivre les palanquées, avec une sécurité surface à bord...
Les sites de plongée, notamment les épaves, plus difficiles à trouver, n'ont pratiquement plus été monopolisés par des bateaux de plaisanciers, ou de clubs, laissés sans sécurité en surface attachés à une bouée, peut-être trop pratique...
Les Clubs professionnels, à l'instar d'autres qui pratiquaient déjà cette technique, ont commencé à prendre des amers, ou positions GPS, et à envoyer à l'eau un encadrant pour fixer un bout sur le fond. Au moins on est sûr d'avoir l'encadrant à l'eau en premier, ce qui est la règle et permet d'éviter bien des convenues (au niveau du courant notamment).

En résumé, c'est vrai que les bouées de surface sont bien pratiques. Mais non conformes, ou mal utilisées, ou mal entretenues, elles peuvent s'avérer dangereuses et à l'origine de contentieux.
Dans tous les cas, leur utilisation est des plus aléatoires, sans un minimum d'entente responsable entre les utilisateurs.
Or, l'adoption de la charte de qualité et de responsabilité, sujet d'actualité, paraît être une condition d'exploitation sine qua non. Avis aux amateurs et professionnels !

Coup de fil à... Michel Mai...

Coup de fil à... Michel Mai, du service de l’environnement de la Province Sud” pouvions-nous lire récemment dans le quotidien “Les Nouvelles”.

Un titre sous lequel M. Mai tentait de répondre à la question : “Pourquoi a-t-on supprimé certaines bouées qui marquent les sites de plongée répertoriés ?”

C’est à juste titre que M. Mai précisait que le balisage des sites de plongée ne dépend pas de son service, mais qu’il s’agit d’une initiative privée des clubs de plongée.
Et de conclure : “Toutefois, il est vrai que nous avons effectivement constaté que certaines de ces bouées ont disparu, sans doute à la suite d’actes de vandalisme.”

Vandalisme ou protection de l'environnement ?
Il est donc intéressant de préciser que, à deux ou trois exceptions près, l’ensemble de ces “bouées” étaient fixées sur des “patates” de corail. Ce qui avait justifié, de la part de M. Mai, l'initiative d'un courrier (réf. 6024-951/DRN/ENV du 25/03/05) adressé à tous les responsables de centres de plongée ; par lequel il les informait que :

  • (...) la pose corps-mort doit faire l'objet d'une demande auprès des autorités compétentes (...)
  • (...) tout aménagement à l'intérieur d'une réserve doit être présenté au comité pour la protection de l'environnement
  • Le "mouillage" mis en place à la passe de Dumbéa sera démonté, pour éviter que "la tête jaune, sur laquelle la chaîne est entourée, ne soit sciée à la base par effet de frottement".
D'autant, qu'il lui aurait été demandé, à réception de son courrier, quelle autre solution il envisageait en remplacement de ce mouillage "d'initiative privée" ? Réponse : aucune.
Ledit mouillage a donc disparu (avec les autres), faisant place aux ancres et chaînes des bateaux de plongée et de surfers... En matière de protection de l'environnement, il y a mieux !
Que doit-on considérer, lorsque M. Mai sous-entendait un "acte de vandalisme" concernant le démontage de ce mouillage par des services provinciaux?

Précisons quand-même qu'il n'y a aucun effet de scisaillement sur ce type de mouillage par chaîne, avec bouée immergée pour éviter tout ragage sur le fond.

Par contre, nous informe-t-on, les défuntes "bouées" disposées autour des passes de Boulari représentaient un réel danger et leur "disparition" est un soulagement pour les usagers de la mer. En effet :

  • Le plus souvent la chaîne était très usée et sous-dimensionnée, voir mal assemblée ;
  • Le bout polypropylène utilisé (par économie) était impropre à l'amarrage, du fait de sa très faible résistance et de son mauvais vieillissement aux UV (certains y laissaient leur bateau sans sécurité surface...) ;
  • Le simple bidon d'huile vide, recyclé comme bouée de surface, constituaient un danger par sa mauvaise visibilité. Il semblerait que plusieurs usagés en aient fait les frais au niveau de leurs hélices et gouvernes...
Attention, en matière de responsabilité civile, aux conséquences d'avaries d'un bateau incriminant un mouillage laissé en surface... "l'installateur" du mouillage peut se faire du soucis : suite dans notre prochain bulletin...

Charte de Qualité et de Responsabilité

Enfin !

A l’instar des autres destinations plongée de grande réputation, la Nouvelle-Calédonie va adopter sa charte de qualité et de responsabilité.

A l’origine de cette charte, Raoul MONTHOUEL (NOUMEA DIVING), Président du  Syndicat des Plongeurs Professionnels (SPPNC) regroupant près de la moitié des structures de plongée de la Province Sud, qui nous explique :
Il s’agit d’un outil indispensable au développement serein et qualitatif des activités de plongée, il était important d’adopter des règles de base pour soigner la réputation de notre destination et inspirer confiance, dans un contexte international particulièrement compétitif. De plus, la clientèle des plongeurs est très soucieuse de l’environnement et de sa préservation. Quant au contexte local du déroulement de nos activités, il fallait absolument mettre un peu d’ordre et faire cesser les “chamailleries” qui, trop souvent, se traduisaient par un dénigrement récurant et, bien sûr, néfaste. Il faut également espérer que le respect de cette charte incitera, tous ceux qui hésitent encore, à investir dans des bateaux confortables, en  adéquation avec la dimension de notre lagon et de nos prétentions en matière touristiques”.

C’est ainsi qu’avec les conseils de Thierry OCHE (IATOK DIVING), représentant des structures touristiques et de Valérie VAILLET, ingénieur en environnement, la charte à vue le jour. Reste à la faire appliquer.
Toutes les structures de plongée y ont bien sûr réservé un accueil particulièrement favorable ; quant aux Provinces et au Gouvernement, nous ne doutons pas de leur participation active.

Nous souhaitons donc de bonnes plongées à cette charte.

Kuniés sur le récif

Ce vendredi 12 août n'aura pas été un jour de chance pou le Club de plongée de l'ïle des Pins "KUNIE SCUBA CENTER".Alerté par le PC secours en mer, les gendarmes ont du se porter au secours du bateau pneumatique du Club touristique, échoué sur le récif et submergé par les vagues !A priori tout se serait bien fini, certains on du faire un sacré baptême...

Actualités du mois de Juillet 2005

IMPERATOR à la rescousse

Arrivé sur le site de plongée "Tepava" ce samedi 30 juillet, la matinée s'annonçait bien pour le Club Sportif et Artistique de NC (CSANC club associatif) jusqu'au moment de la mise à l'eau...
Alors que deux plongeurs venaient de s'immerger, les dix autres restés à bord ont senti leur bateau s'enfoncer de l'arrière et, en quelques secondes, gîter dangereusement et chavirer. En un rien de temps, tout était noyé : radio, téléphones portables, clefs de voiture, portefeuille, etc...
Il ne restait, pour les malheureux nageant en surface, que leurs bras à agiter en direction du seul bateau présent sur le site: l'IMPERATOR, ou marcher en chaussettes sur le récif pour rejoindre l'îlot Maître. Situation périlleuse.Fort de ses 54 tonneaux et d'un pont très spacieux, l'Imperator pouvait accueillir sans problème 12 personnes supplémentaires avec tous leurs équipements. Seulement, il fallait les récupérer au vent dominant, à moins de 20 mètres des brisants du récif !
Le tirant d'eau de l'Imperator étant de presque 3 mètres et sa capacité de manoeuvre quasiment nulle, il était donc décidé par Raoul MONTHOUEL Capitaine du navire, de secourir le CSANC avec l'annexe "NOUMEA DIVING", 9 mètres de long, plus légère et manoeuvrante ; par chance emmenée ce matin là, au lieu de rester dans la baie de l'Anse Vata.
Après avoir rendu compte de la situation au PC secours en mer, l'opération de sauvetage débute par un vent forcissant et une mère formée.Le Nouméa Diving manoeuvre pendant plus d'une heure à proximité de l'épave flottant à l'envers, retenue par sa seule chaîne d'ancre. Après trois allez-retour jusqu'à l'Imperator dans les vagues qui se creusent, tous les plongeurs sont tirés, hissés, poussés à bord, ainsi que leurs équipements repéchés à la surface et sur le fond.
De retour à l'Imperator, le transbordement est encore mouvementé, les bateaux à couple s'entrechoquent, il faut faire vite. quelques minutes après, tout le monde se réchauffe à bord et échange ses points de vue en faisant route sur Nouméa : SAINS et SAUF !Une belle démonstration de solidarité.En début d'après-midi l'IMPERATOR reviendra récupérer l'épave du CSANC, l'opération se finira à 22H30.

Actualités du mois d'Avril 2005

Création d'un syndicat pour les plongeurs.

Peu ou mal représenté auprès du publique et des institutions, le monde de la plongée en Nouvelle-Calédonie est desservi, depuis longtemps, par un manque de structuration et de coordination.
Tous ceux exerçant individuellement ou en sociétés, ont donc décidé de se regrouper au sein d’une association, crée ce 15 avril 2005, sous l’appellation :
“SYNDICAT des PLONGEURS PROFESSIONNELS de NOUVELLE CALEDONIE”.
L’association regroupe, au sein de différents collèges, le plus grand nombre jamais réunis de professionnels des secteurs tourisme, travaux, médical, scientifique, photo-vidéo, etc...Le but de cette association est de contribuer au développement harmonieux et qualitatif de toutes les activités de plongée en Nouvelle-Calédonie, ainsi que d’en assurer la promotion et la défense ; dans le respect de l’intérêt général, de la déontologie et des règlements.
Pour ce faire, l’association a adopté des statuts lui permettant de cibler et de représenter le maximum de personnes concernées.Cette association est administrée par les personnes suivantes :Monsieur Raoul MONTHOUEL (NOUMEA DIVING) élu PRÉSIDENT
Madame Valérie VAILLET (A2EP) élue VICE-PRÉSIDENTE
Monsieur Eric DUCOUT (SEMS) élu SECRÉTAIRE
Monsieur Eric HERBERT (ETSM) élu TRÉSORIER
Monsieur François LEVIONNOIS (SEMS) élu représentant du collège TRAVAUX
Madame Valérie VAILLET (A2EP) élue représentante du collège PHOTO-VIDEO et SCIENTIFIQUE
Monsieur Thierry OCHE (IATOK DIVING) élu représentant du collège TOURISME.

Les représentants du SPPNC rencontrerons les partenaires commerciaux et les responsables administratifs ou politiques, à chaque fois que l’occasion se présentera, étant des interlocuteurs privilégiés au service de l’intérêt général, pour les assister dans les questions relatives à leurs différents secteurs de compétences.D'ors et déjà, des réunions ont lieu avec l'Inspection du Travail, pour l'établissement d'une nouvelle législation pour le secteur des travaux.

DiveScope

Le "DiveScope" immergé à la seiche croissant a touché le fond, laissé sans aucun entretien depuis des mois.
La trappe d'accès est ouverte, ce qui représente un danger pour tous ceux qui seraientt susceptibles de vouloir y pénétrer.
Surtout, prenez garde à ne pas y respirer l'air vicié à l'intérieur.

Quel avenir pour cet engin immergé ?

pour nous contacter : webmaster@newcaledonia-diving.com
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